Le transfert de Bradley Beal, un casse-tête pour les Suns en 2025 ?
Le transfert de Bradley Beal des Phoenix Suns s'annonce compliqué à l'horizon 2025. Sa "no-trade clause" et les contraintes financières de l'équipe rendent toute transaction ardue.
Une clause de non-transfert bloquante
Bradley Beal, avec sa "no-trade clause", a le pouvoir de bloquer tout transfert qu'il jugerait défavorable. Cette clause lui offre un contrôle total sur sa destination, compliquant ainsi les plans des Suns s'ils souhaitent s'en séparer.
De plus, même une rupture de contrat (buyout) s'avère complexe. Phoenix doit impérativement négocier avec Beal un accord avant d'envisager un étalement des paiements restants sur son contrat.
Contraintes financières pour Phoenix
La "stretch provision", qui permet d'étaler le paiement du salaire d'un joueur coupé, est limitée à 15% du "salary cap" de la NBA. Or, les Suns doivent déjà payer Nassir Little et EJ Liddell via cette disposition, ce qui réduit leur marge de manœuvre pour absorber le contrat de Beal. Pour que l'opération soit viable, Beal devrait renoncer à plus de 14 millions de dollars, ce qui complexifie davantage les négociations.